ARTICLES

Philippe Zilcken
Biermé, Maria
L'Art et les Artistes, revue d'Art de France et de l'Etranger, numéro 39, Paris, juillet 1923.
In-4, broché sous couverture illustrée, paginé de 372-412 pp.
Nombreuses illustrations en noir et blanc in texte.
Assez bon état. Quelques marques d'usage en couverture.
Livre non disponible
Rare évocation de l'oeuvre orientaliste du peintre, graveur et écrivain néerlandais Philippe Zilcken (La Haye, 1857 - Villefranche, 1930) par la critique d'art et poète belge Maria Bermé (1863-1932). Cette dernière avait antérieurement consacré d'autres articles à l'artiste francophile dans La Belgique artistique & littéraire en 1911 et 1913. Un ouvrage préfacé par Léonce Bénédite : Impressions d'Algérie, orné de quinze pointes-sèches et tiré à seulement 120 exemplaires avait été consacré à cet artiste subtil qui fut notamment à l'origine du voyage de Verlaine aux Pays-Bas en 1892.
"Peut-être faut-il être du Nord pour goûter dans toute sa plénitude la beauté rayonnante du soleil [...]", écrit M. Bermé. "On en trouverait la preuve dans les oeuvres du hollandais Philippe Zilcken, qui, bien qu'ayant des alliances belges, françaises, espagnoles, même arabes dans sa famille et étant, comme le peintre Raemackers, un des meilleurs amis de la France et de la Belgique, a fait son éducation artistique à La Haye où son seul maître fut le célèbre paysagiste néerlandais Mauve, qui excellait à rendre les subtilités les plus raffinées de la lumière et de la nature de son pays." (Maria Bermé, Philippe Zilcken, pp.393-396)
"Peut-être faut-il être du Nord pour goûter dans toute sa plénitude la beauté rayonnante du soleil [...]", écrit M. Bermé. "On en trouverait la preuve dans les oeuvres du hollandais Philippe Zilcken, qui, bien qu'ayant des alliances belges, françaises, espagnoles, même arabes dans sa famille et étant, comme le peintre Raemackers, un des meilleurs amis de la France et de la Belgique, a fait son éducation artistique à La Haye où son seul maître fut le célèbre paysagiste néerlandais Mauve, qui excellait à rendre les subtilités les plus raffinées de la lumière et de la nature de son pays." (Maria Bermé, Philippe Zilcken, pp.393-396)