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Portrait de Jurgis Baltrusaitis & Art sumérien, Art roman
Chevrier, Jean-François
Editions Flammarion, Paris, 1989.
In-8, broché sous couverture illustrée en noir, 271 pp.
Nombreuses illustrations en noir et blanc.
Assez bon état. Légers frottements en couverture, coins émoussés.
Livre non disponible
"Art sumérien, Art roman, publié initialement en 1934, clôt la réédition chez Flammarion des principaux ouvrages de l'historien d'art Jurgis Baltrusaitis. Après des études de jeunesse sur l'art médiéval en Transcaucasie, ce bref et puissant essai sur les origines les plus lointaines de l'art roman ouvrait de nouvelles perspectives sur les premières sources orientales de l'art médiéval en Occident. (...) Restituant les antécédents et les principes du système morphologique de l'art roman décrit dans La Stylistique ornementale, il est aussi l'introduction aux recherches ultérieures sur l'exotisme du Moyen Age, présentées dans Le Moyen Age fantastique.
"Autour de cet essai, Jean-François Chevrier a composé un Portrait de l'auteur qui reconstitue sa formation et l'évolution de ses recherches, mais aussi la construction d'une oeuvre et la figure d'un écrivain. Né en Lithuanie au début de ce siècle, fils d'un poète-diplomate, Jurgis Baltrusaitis avait assimilé la culture artistique, littéraire et philologique d'Europe centrale quand il est devenu, à son arrivée en France, l'un des plus proches collaborateurs d'Henri Focillon. Trente ans plus tard, après avoir apporté une contribution fondamentale aux études médiévales, il engagea une deuxième phase de recherches qui aboutit à la série d'ouvrages regroupés sous le titre Les Perspectives dépravées."
"Autour de cet essai, Jean-François Chevrier a composé un Portrait de l'auteur qui reconstitue sa formation et l'évolution de ses recherches, mais aussi la construction d'une oeuvre et la figure d'un écrivain. Né en Lithuanie au début de ce siècle, fils d'un poète-diplomate, Jurgis Baltrusaitis avait assimilé la culture artistique, littéraire et philologique d'Europe centrale quand il est devenu, à son arrivée en France, l'un des plus proches collaborateurs d'Henri Focillon. Trente ans plus tard, après avoir apporté une contribution fondamentale aux études médiévales, il engagea une deuxième phase de recherches qui aboutit à la série d'ouvrages regroupés sous le titre Les Perspectives dépravées."