Royère, Jean
Le musicisme sculptural. Madame Archer Milton Huntington
Liste des ouvrages
L'oeuvre d'Anna Hyatt-Huntington
Schaub-Koch, Emile
Editions Messein, Paris, 1949.
American Sculpture - 20th Century - Anna Hyatt Huntington - Women Artists - Monographs - Text in French - Paperback - Book in Good Condition
Grand in-8, broché sous jaquette illustrée en noir, ouvrage non coupé, xi - 396 pp.
Nombreuses illustrations en noir et blanc en hors-texte.
Envoi autographe signé de l'auteur en page de garde.
Bon état. Légers frottements sur la jaquette, intérieur très frais.
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Préface par Louis Réau - La statuaire depuis la mort de Rodin - La raison d'être de la statuaire Anna Hyatt-Huntington - A propos d'art monumental - La statue du Cid - Diane et la grâce - A. Hyatt-Huntington et l'idée esthétique du nu - Deux sculptures monumentales - A. Hyatt-Huntington située dans l'histoire de l'art - Du modèle et du mouvement - Du buste. - Portrait - Influences indirectes et lointaines - Vues sur l'art animalier - A. Hyatt-Huntington et la psychologie animale - Les chevaux dans l'oeuvre d'A. Hyatt-Huntington - L'animal dans le monde des formes - Les chiens dans l'art et dans l'oeuvre d'A. Hyatt-Huntington - Ce que représente pour l'homme actuel l'art animalier - Du style, des éléphants, d'un rhinocéros et de phoques - Apport de la lumière expressive - Justification esthétique - Considérations sur des oeuvres anciennes et récentes - Errata -
Anna Hyatt-Huntington (1876-1973) est l'une des rares artistes féminines à s'être illustrée dans l'art statuaire dès les premières années du XXe siècle. Fille d'un célèbre zoologue de l'université de Harvard, elle fit de l'art animalier son thème de prédilection. En 1931, son mari, le philanthrope Archer Huntington avait fait l'acquisition d'un vaste terrain près de Charleston, en Caroline du Sud : le Brookgreen Garden, qui allait devenir une résidence, un atelier pour son épouse ainsi qu'un lieu de villégiature et de travail pour nombre d'artistes. En 1921, une copie de sa statue équestre de Jeanne d'Arc avait été offerte à la France et installée à Blois.
A partir de 1948, le critique d'art suisse Emile Schaub-Koch (1890-?) s'est pris de passion pour l'artiste américaine A. Hyatt-Huntington au point de consacrer désormais l'essentiel de ses travaux à son oeuvre.
"c'est un véritable monument que l'éminent esthéticien et critique d'art Emile Schaub-Koch élève à la gloire de la plus illustre "sculpteuse" américaine : Mrs. Anna Hyatt-Huntington.
"L'oeuvre considérable de cette grande artiste avait déjà servi de thème à une étude en langue française, publiée en 1934 par le poète symboliste Jean Royère (voir la notice consacrée à ce livre). C'était pour l'auteur un thème à méditations ou plus exactement une illustration, une vérification et une justification des théories du musicisme, par des applications dans les arts plastiques et plus particulièrement dans la sculpture après les avoir mises en lumière dans la poésie.
"Avec une probité chevaleresque qui lui fait honneur, M. Emile Schaub-Koch, loin de dénigrer son devancier pour se faire valoir, l'a au contraire exalté et cité en enchâssant dans ses chapitres les passages essentiels des considérations esthétiques de Jean Royère.
"Mais un simple préfacier n'est pas tenu aux mêmes scrupules et, n'ayant l'intention de rivaliser en aucune manière ni avec M. Royère ni avec M. Schaub-Koch, je n'hésite pas à dire en toute objectivité que la monographie scientifique du second satisfait mieux notre curiosité, parce qu'elle est plus accessible au grand public cultivé.
"Ce livre de vaste envergure rappelle les Sommes théologiques du Moyen Age qui condensaient , pour en faire hommage à Dieu, toutes les connaissances humaines. M. Schaub-Koch est le saint Thomas d'Aquin de la sculpture et des arts plastiques en général." (Louis Réau, Préface)
A partir de 1948, le critique d'art suisse Emile Schaub-Koch (1890-?) s'est pris de passion pour l'artiste américaine A. Hyatt-Huntington au point de consacrer désormais l'essentiel de ses travaux à son oeuvre.
"c'est un véritable monument que l'éminent esthéticien et critique d'art Emile Schaub-Koch élève à la gloire de la plus illustre "sculpteuse" américaine : Mrs. Anna Hyatt-Huntington.
"L'oeuvre considérable de cette grande artiste avait déjà servi de thème à une étude en langue française, publiée en 1934 par le poète symboliste Jean Royère (voir la notice consacrée à ce livre). C'était pour l'auteur un thème à méditations ou plus exactement une illustration, une vérification et une justification des théories du musicisme, par des applications dans les arts plastiques et plus particulièrement dans la sculpture après les avoir mises en lumière dans la poésie.
"Avec une probité chevaleresque qui lui fait honneur, M. Emile Schaub-Koch, loin de dénigrer son devancier pour se faire valoir, l'a au contraire exalté et cité en enchâssant dans ses chapitres les passages essentiels des considérations esthétiques de Jean Royère.
"Mais un simple préfacier n'est pas tenu aux mêmes scrupules et, n'ayant l'intention de rivaliser en aucune manière ni avec M. Royère ni avec M. Schaub-Koch, je n'hésite pas à dire en toute objectivité que la monographie scientifique du second satisfait mieux notre curiosité, parce qu'elle est plus accessible au grand public cultivé.
"Ce livre de vaste envergure rappelle les Sommes théologiques du Moyen Age qui condensaient , pour en faire hommage à Dieu, toutes les connaissances humaines. M. Schaub-Koch est le saint Thomas d'Aquin de la sculpture et des arts plastiques en général." (Louis Réau, Préface)
