Souvenirs d'un vieux Romain ornés de quelques sanguines d'Hubert Robert
Liste des ouvrages
Le testament d'un Latin
Nolhac, Pierre de
Librairie Plon, Paris, 1929.
In-8, broché, exemplaire non coupé, 32 pp.
Bon état.
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Le testament d'un Latin - Prélude - "Mare nostrum" - La première sagesse - La nouvelle sagesse - La Gaule romaine - Le parchemin - "Roma Aeterna" - Le temple universel - Le potier de l'Acropole - Table des matières.
Académicien et conservateur au château de Versailles puis au musée Jacquemart-André, Pierre de Nolhac (1859-1936) s'était rendu une nouvelle fois à Rome en 1925. Effectué en tant que pélerin, ce périple fit resurgir le souvenir de ses années romaines à l'Ecole française de Rome -entre 1882 et 1885- et son émerveillement devant l'art italien. Cet attachement pour la latinité était également devenu indissociable d'une forte admiration pour la Rome mussolinienne, au point que Nolhac rêvait à une union entre les deux pays latins.
Recueil de poésie, Le Testament d'un Latin présente une synthèse du christianisme et de l'Antiquité gréco-romaine et renvoie à l'idéal humaniste du Quattrocento, tel que Nolhac se le représentait. En 1936, André Pératé, conservateur au château de Versailles, consacrait une étude à "Pierre de Nolhac, un grand humaniste" (Etudes, mars 1936) dans laquelle l'auteur revient avec quelque grandiloquence sur cet amour des deux Rome : cet ouvrage "a résumé ce qui fut l'enseignement, reçu et donné, de sa vie, hommage à l'esprit vivant qui, aux rives de la Méditerranée, depuis la Grèce antique jusqu'à nous, a germé, a fleuri, a obtenu de la vérité chrétienne son entier épanouissement. Il a dédié ce poème à la Rome éternelle."
Recueil de poésie, Le Testament d'un Latin présente une synthèse du christianisme et de l'Antiquité gréco-romaine et renvoie à l'idéal humaniste du Quattrocento, tel que Nolhac se le représentait. En 1936, André Pératé, conservateur au château de Versailles, consacrait une étude à "Pierre de Nolhac, un grand humaniste" (Etudes, mars 1936) dans laquelle l'auteur revient avec quelque grandiloquence sur cet amour des deux Rome : cet ouvrage "a résumé ce qui fut l'enseignement, reçu et donné, de sa vie, hommage à l'esprit vivant qui, aux rives de la Méditerranée, depuis la Grèce antique jusqu'à nous, a germé, a fleuri, a obtenu de la vérité chrétienne son entier épanouissement. Il a dédié ce poème à la Rome éternelle."